les animaux sauvages aujourd'hui en LOZERE
Les animaux sauvages et la LOZERE …
La Lozère est à jamais marquée par la bête du Gévaudan, qui, au XVIIIe siècle, traumatisa pour longtemps les habitants du cru. Aujourd'hui encore, livres, films et sites Internet tentent vainement de dénouer l'énigme. Le mystère demeure.
Sur la commune de Saint-Léger-de-Peyre, un premier parc a loups et s'obstine contre vents et marées. Avec le recul, son succès impressionne: le parc de Sainte-Lucie permet à 130 de ces carnivores du monde entier de vivre en semi-liberté sur un territoire de 20 hectares. Il est unique en son genre.
En haute Margeride, à Arzenc-de-Randon, on peut découvrir un troupeau d'aurochs, race primitive de boeufs disparue à la fin du XVIIe siècle.
A Saint-Pierre-des-Tripiers, au coeur des gorges de la Jonte, 250 vautours ont fondé une étonnante colonie, fruit d'un long travail de réintroduction de l'espèce orchestré par le parc national des Cévennes.
A Sainte-Eulalie, en Margeride, c'est un troupeau de bisons, en majorité originaires de Pologne, que l'on vient admirer en calèche - ou en traîneau, l'hiver.
Près de Saint-Jean-la-Fouillouse, la Toison d'or, elle, a regroupé sur 6 hectares toutes les espèces de la planète laine: alpagas, lamas, chèvres angoras, moutons de toutes sortes, et même un étrange cochon laineux.
L'expérience la plus originale, à ce jour réservée aux scientifiques, concerne le sauvetage d'un cheval au nom barbare, Prjevalski, découvert en Mongolie à la fin du XIXe siècle, jamais domestiqué par l'homme, et dont il resterait à peine 1 600 exemplaires dans le monde. Dans la ferme du Villaret, sur le causse Méjean.
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